• Climax, jour 2 : l'énergie salvatrice d'une foule qui danse

     

    C'est à I Am Stramgram, jeune prodige du folk français, qu'est incombée la tâche ingrate d'ouvrir la deuxième soirée du Climax Festival. Il s'en est bien tiré, le public étant plus échauffé que la veille ; on a d'ailleurs aperçu plusieurs déguisements de lama et de nounours sautillant parmi la foule.

     

     

     

    Climax, jour 2 : l'énergie salvatrice d'une foule qui danse

     

     

     

     

    Climax, jour 2 : l'énergie salvatrice d'une foule qui danse

     

     

     

    A 20h20, celle-ci s'est massée devant la grande scène pour accueillir comme il se doit The Kooks ; le célèbre groupe de pop-rock anglais a su provoquer les cris aigüs de ses groupies en commençant son live par l'une de ses chansons les plus énergiques, Always where I need to be. Le quatuor, composé d'un batteur, un bassiste, un chanteur-pianiste et un guitariste, a poursuivi sur des mélodies plus planantes, aux sonorités éthérées et adolescentes. On se souviendra du live très émouvant de Seaside, et de celui très attendu de Naive.

     

     

     

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    Ce fut ensuite au tour de Polo and Pan, duo de musique électronique formé en 2014, de prendre place sur la petite scène. Les deux français se sont déchaînés et ont entraîné les spectateurs dans leur danse énergique, sur leur musique qui actualise des références très années 80.

     

     

     

    Climax, jour 2 : l'énergie salvatrice d'une foule qui danse

     

     

     

    On mit vite de côté l'électro et la pop quand Franz Ferdinand monta sur scène. Alex Kapranos au chant et à la guitare, Robert Hardy à la basse, Paul Thomson à la batterie, Dino Bardot à la guitare et Julian Corrie au clavier et au synthé : cinq musiciens pour un groupe mythique, qui a fait revivre un punk-rock souvent délaissé par la musique actuelle. Une scénographie impeccable, une communication parfaite au sein du groupe, des morceaux qui s'enchaînent sans aucune erreur, des arrangements musicaux originaux et un public ravi. Quand on la quitte, on oublie vite l'énergie salvatrice que procure le fait de danser au cœur d'une foule en transe, de bouger au même rythme que ses centaines de voisins. Il est bon à notre époque de se souvenir qu'une chose aussi simple que danser face à un bon concert puisse être aussi jouissive.

     

     

     

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    En fin de soirée, on abandonna le punk pour retourner aux sonorités plus actuelles de Kungs, DJ français qui s'est produit à Coachella, au Tomorrowland, et désormais au Climax Festival. Sa deep-house estivale a conclu en beauté ce deuxième soir, résolument tourné vers le pop et le punk-rock. On se retrouve demain pour décortiquer l'ambiance du dernier soir, et les concerts de S Crew, Fakear, Amadou et Mariam et bien d'autres !

     

     

     

     

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