•  

    A Rise To KaTs, c'est un jeune groupe de reprise bordelais au style bien particulier. Le trio organise la soirée de lancement de leur clip au Château de Thouars le 17 octobre, et tout le monde est invité ! Rencontre avec des musiciens à bretelles décalés.

     

     

     

    A Rise To KaTs : venez découvrir un trio moustachu à bretelles au Château de Thouars !

     

     

     

    Pouvez-vous présenter le groupe et ses membres ?

    Alors il y a K'rlito : musicien dans l'âme depuis toujours, à écouter des classiques rock dans la voiture, il a découvert la guitare à l'age de 14 ans. Lors d'une tournée avec le projet " Itz Jones Show" en 2016-2017, il fait la rencontre de Pala The KaT. Pala the KaT a toujours aimé chanter. Il a le don (ou la malédiction ?) de retenir presque instantanément les paroles des chansons, ce qui est très utile pour le groupe et très énervant quand on est sur la route et qu'on écoute la radio. Vient ensuite T.L.G., le cadet du groupe. Il joue de l'accordéon et de la guitare depuis son enfance, et était réceptionniste avant de rencontrer  K'rlito au Connemara è-!

     

    Pourquoi ce nom, "A Rise To KaTs" ?

    K'rlito et Pala The Kat sont à l'initiative du nom du groupe. On avait envie d'un jeu de mots avec "aristocrates", et la référence au dessin animé Walt Disney, Les Aristochats, a été adoptée.

     

     

     

    A Rise To KaTs : venez découvrir un groupe bordelais au Château de Talence !

     

     

     

     

    Depuis quand vous produisez-vous sur scène ?

    Après un certain nombre de répétitions intensives, on a fait notre premier concert au Connemara, lieu symbolique. Les dates se sont enchaînées rapidement ; aujourd'hui, après deux années de rencontres, de projets et de routes, A Rise To KaTs a plus de 200 concerts à son actif !

     

    Pourquoi ce choix de ne jouer que des reprises de chansons françaises, en costume à bretelles ?

    On est tous les trois fans de la mode française des années 20, et afin d'être en adéquation avec le style de musique swing, notre groupe s'est basé sur le style des Aristochats de Walt Disney ! A base de gavroches, de bretelles et de noeuds papillons en bois, notre look fait sensation partout où on passe, d'autant qu'on n'avait pas prévu que le rétro reviendrait autant à la mode !

     

     

     

    A Rise To KaTs : venez découvrir un groupe bordelais au Château de Talence !

     

     

     

    Parlez-nous de l'événement que vous organisez le 17 octobre au Château de Touars.

    On a rencontré Olivier Roca de Sharpen quand on jouait dans les rues bordelaises. Après une première collaboration pour le tournage de notre vidéo de Présentation, on a décidé de travailler ensemble pour réaliser un clip ambitieux sur une reprise totalement personnalisée de la célèbre chanson Je Me Suis Fait Tout P'tit de Georges Brassens. Après avoir décidé ensemble de l'histoire, trouvé le lieu grâce au café Pourquoi Pas ?, réuni l'équipe nécessaire auprès de l'école YNOV et après avoir trouvé des fonds avec notamment la collaboration de la Brasserie MIRA, le tournage a pu commencer !

     

     

     

    A Rise To KaTs : venez découvrir un groupe bordelais au Château de Talence !

     

     

     

    La soirée du 17 octobre a pour but de réunir au maximum toutes les personnes ayant participé à la réalisation de ce clip, et de le diffuser devant les personnes présentes. Seront conviés à la fête Olivier Roca de Sharpen, qui propose avec son entreprise SHARPEN un service de production d'images, de photographies, et de films commerciaux ; les anciens élèves de l'école INNOV, qui s'occuperont de toute la décoration du Château de Thouars ; Neelimah, qui présentera ses tableaux d'art figuratif ; Dirty Panda, Shaper de Lacanau et Yoko ? Oh No !, des amis du groupe. 

    L'entrée sera ouverte au public à 18h30. Le clip sera projeté à 20h30. Le concert d'A Rise To KaTs aura lieu à 20h45, et le concert de Yoko ? Oh No ! à 21h45.

     

     

     

    A Rise To KaTs : venez découvrir un groupe bordelais au Château de Talence !

     

     

     

    Quels sont vos meilleur et pire souvenirs de scène ?

    Le meilleur souvenir, c'était le premier slam de Pala The Kat au Festival Interceltique de Lorient, avec un public en feu ! Et le pire... c'était un concert où toute l'organisation a été modifiée à la dernière minute, dans des conditions extrêmes.

     

     

    Où pourra-t-on vous voir sur scène prochainement ?

    On sera à la Foire du Vin à Albi le 27 septembre, à La Teste le 4 et le 8 octobre, au Grizzly à Bordeaux le 9 octobre, au Péry à Toulouse le 11 octobre, et à The House of Parliament à Bordeaux le 18 octobre ! 

     

     

     

    A Rise To KaTs : venez découvrir un groupe bordelais au Château de Talence !

     

     

     

    Quels sont vos projets ?

    On va déjà fêter notre intermittence ! Et puis un deuxième tournage de clip est prévu pour 2020, ainsi qu'un projet plus léger de création de web radio avec des anciens élèves de l'INNOV, des nouvelles sessions d'enregistrement studio. On ambitionne aussi d'exporter notre projet à Paris et à l'étranger.

     

     

     

     

    _______________

    Pour plus d'infos, de photos et de jeux concours, suivez Next-Bordeaux sur Facebook et Instagram !

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Nous sommes de retour avec notre troisième interview de tatoueur. Cette fois-ci, nous posons nos questions à Pierre, dont le salon PierTattoo se situe au 135 boulevard Georges V, à Talence. Rencontre avec un artiste tatoueur qui exerce depuis les années 90 et qui a vu cette pratique artistique évoluer.

     

     

     

    PierTattoo : "les tatoueurs sont des artistes créatifs"

     

     

     

    Comment t’es-tu dirigé vers le tatouage ?

    Par hasard. Je dessine depuis l'enfance, mais il est difficile de gagner sa vie avec le dessin. Au départ, je travaillais dans la publicité en tant qu'illustrateur mais c’était assez restrictif, par la suite je suis devenu éducateur sportif avec un statut de fonctionnaire, et c'est quand j’ai découvert le tatouage que j’ai réalisé que je pouvais réellement vivre de ma passion : le dessin. Je me suis fait tatouer pour la naissance de ma première fille, en 1992. Le tatoueur a kiffé le dessin que j’avais réalisé, c’était un dragon avec une tête de taureau et des ailes de chauve-souris (aujourd'hui d'un gout relatif mais à l'époque tout était symbolique). Le tatoueur m’a dit que je devrais créer des planches de flashs pour vendre aux tatoueurs, mais j’estimais que les tatoueurs étaient censés être des artistes créatifs et qu'ils n’avaient pas besoin qu’on leur propose d'autres dessins.  Donc je me suis lancé, j’ai acheté du matériel de tatouage, sans expérience et avec un matos de qualité toute relative. Il m'a fallu persévérer, cela m’a permis de comprendre que c’était vraiment ce que je voulais faire. J’ai fait le choix de prendre un risque : je gagnais correctement ma vie en tant qu'éducateur sportif, et j’ai décidé de me réorienter en tant que tatoueur et de perdre mon statut de fonctionnaire pour vivre de ma passion. Je ne regrette rien.

     

    Comment as-tu commencé à tatouer ? Tu t’es entraîné sur des peaux synthétiques?

    Les peaux synthétiques n’existaient pas trop en 1993. J’ai commencé dans ma cuisine, sur de la peau de cochon, c’était un peu dégueu ! Et ça m’ennuyait de gâcher des aiguilles pour tatouer de la peau morte. Ayant commencé à tatouer en région parisienne, aujourd’hui beaucoup de mes anciens clients parisiens viennent de Paris, j’ai eu l'honneur de tatouer quelques personnalités, chanteurs ou humoristes tel que Dédo (du Jamel Comedy Club), le champion du monde et olympique de gymnastique Thomas Bouhail, et nombreux autres sportifs de hauts niveaux.

     

     

     

    PierTattoo : "les tatoueurs sont des artistes créatifs"

     

     

     

    Comment s’est passé ton premier tatouage ?

    C’était sur mon beau-frère. Il m’avait demandé un petit Droopy de Tex Avery, j’ai mis trois heures à le réaliser. J’étais assez anxieux, lui aussi d’ailleurs ! Mais il m’a fait confiance et était content du résultat. Suite à cette première expérience je n’ai plus arrêté.

     

    Depuis combien de temps possèdes-tu ce salon, PierTattoo, à Talence ?

    J’ai ouvert ce salon à Talence en Octobre 2017. Au départ, en 93, je tatouais dans mon appartement de Gagny  puis dans un local que j'avais construit au fond de mon jardin en 1998, avec une entrée indépendante pour que je puisse tatouer hors de la maison familiale. J'ai ensuite ouvert ma première boutique sur Gagny en 2007, et me voilà ici aujourd'hui !

     

     

     

    PierTattoo : "les tatoueurs sont des artistes créatifs"

     

     

     

    Comment expliques-tu que le tatouage soit si populaire aujourd’hui ?

    C’est vrai, ça s’est démocratisé. Avant on évitait de croiser le regard de quelqu’un d’entièrement tatoué, alors que maintenant c’est une source de communication ; les gens n’hésitent pas à brancher quelqu’un pour lui demander d’où vient son tatouage. Mais le tatouage n’est pas une mode, parce qu’une mode est éphémère. La mode est dans le motif, à la rigueur. Le tatouage existe depuis plus de 5000 ans, on est plus dans une forme d’acceptation que dans une tendance. Chacun a le droit de ressembler à ce qu’il veut, d’avoir les signes d’appartenance qu’il veut. Je trouve que c’est une ouverture d’esprit et d’esthétique.

     

    Comment décrirais-tu ton style de tatouage ?

    Je suis tous styles. Pour moi, tout ce qui se dessine, tout ce que je peux dessiner - puisque ce que j’aime, c’est le dessin -, je peux le tatouer. Je ne voudrais pas me spécialiser, même si c’est la tendance aujourd’hui. Je suis un vieux tatoueur et je ne pense pas qu’il faille imposer son style. Après, j’aime particulièrement faire du réalisme et de l’animalier.

     

     

     

    PierTattoo : "les tatoueurs sont des artistes créatifs"

     

     

     

    Comment travailles-tu ? 

    Soit la personne arrive avec une simple idée, soit elle a déjà un dessin précis. En général, j’arrive toujours à convaincre la personne que son idée de tatouage trouvée sur Internet sera mieux si on la personnalise un peu ; sauf, bien sûr, quand la personne arrive avec un dessin fait par un proche, là il faut respecter. Je fais très peu de numérique, je préfère travailler à l'ancienne, avec papier et crayon. Je vais me mettre à la tablette graphique, parce qu’en convention c’est pratique. Je ne suis pas contre le progrès, j’ai juste du mal à m’y mettre (rires).

     

    As-tu déjà refusé de faire un tatouage ?

    Oui il m'est arrivé de refuser des tatouages parce que je connaissais la portée du symbole demandé. Etant tatoueur, je pourrais le faire, mais je n’ai pas envie qu’on me catégorise ou spécialise à des appartenances trop caractéristiques. J’ai aussi déjà dit non à des tatouages loufoques : un jeune voulait que je lui écrive « fuck you » sur les paupières. J’ai besoin de travailler de manière sereine  : certains tatoueurs ne sont pas dérangés par les endroits trop intimes, personnellement j'ai tatoué des pubis mais je ne vais pas sur les parties génitales ou anales. Il m'est arrivé de refuser un tatouage par rapport à l’état d’esprit de la personne, qui avait validé un dessin, puis qui était revenue dessus et qui m’amenait sur un terrain trop personnel et dérangeant. Je suis tatoueur, pas psy, même si bien sûr je conçois qu'un tatouage puisse engendrer des émotions fortes.

     

     

     

    PierTattoo : "les tatoueurs sont des artistes créatifs"

     

     

     

    Quel est le tatouage dont tu es le plus fier ?

    Les grosses pièces, bien sûr. Mon premier dos, j’ai adoré faire ça. Quand je fais des dos complets, surtout quand c’est du réalisme ou du trompe l’oeil, des effets creusés, j’aime beaucoup ça. Particulièrement quand j’arrive à me bluffer moi-même, j’adore les challenges.

     

    Trois tatoueurs ou tatoueuses qui t’inspirent ?

    Beaucoup de tatoueur.euse.s ont énormément de talents, au début j'étais impressionné par le travail de Tin-Tin  puis plus tard les portraits de Nikko Hurtado. J'aime bien aussi le travail de Maud Dardeau et plusieurs tatoueurs étrangers en hyper réalisme.

     

     

     

    PierTattoo : "les tatoueurs sont des artistes créatifs"

     

     

     

    T’es-tu déjà tatoué toi-même ?

    Oui, je me suis tatoué une étoile sur l’avant-bras. Ma fille m’a aidé pour les retouches. Je suis relativement peu tatoué pour un tatoueur, on me fait souvent la remarque, je n’ai pas le « look » du tatoueur et ça me va très bien. 

     

    Donc certains de tes enfants tatouent aussi ?

    Oui, j’ai cinq enfants et mes deux premières filles tatouent. Elles sont aux Beaux-Arts, elles ne font pas que du tatouage mais elles sont intéressées par cette pratique artistique. Elles ont tatoué quelques fois ; d’ailleurs une de mes filles m’a tatoué son prénom quand elle n'avait que 13 ans, c’était son premier tatouage. 

     

    Sortie d’aiguille : 80 euros (si très petite pièce : 60 euros)

     
     
     

    _______________

    Pour plus d'infos, de photos et de jeux concours, suivez Next-Bordeaux sur Facebook et Instagram !

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Aimé Pestel est un jeune dessinateur bordelais qui a décidé de s'engager artistiquement en mettant en avant des corps et sexualités, notamment de personnes transgenres (dont il fait partie) ou de travailleur.euse.s du sexe. Rencontre avec un artiste minimaliste au message fort.

     

     

     

    Aimé Pestel, dessinateur bordelais : "Mon travail est dédié à la beauté du corps"

     

     

     

     

     

    Comment en es-tu venu à dessiner ? 

    Quand j'étais enfant je voulais être dessinateur de bandes dessinées. Ma scolarité a été particulièrement difficile à partir du collège, donc j'ai arrêté de faire les choses qui me faisaient du bien quand j'étais plus jeune. J'ai ensuite fait des études de psychologie sociale (peut-être aussi pour comprendre ce que j’expérimentais dans la vie). Après mon diplôme, j'ai commencé une étude indépendante sur les représentations sociales de l'homosexualité féminine, pour questionner ce que signifiait, au regard des personnes concernées, être une femme et être lesbienne. Par la suite j'ai rencontré mon ex, grâce à qui je me suis remis à dessiner. C'était le début de beaucoup de projets. Après notre séparation, j'ai à nouveau fait une pause, puis j'ai repris doucement, jusqu'à ce que je démarre, d'abord en résidence artistique ma série « Autistic Perspective of... », que j'ai poursuivi en collaboration avec mon partenaire d'existence, Shama (qui est écrivain), puis celle sur l'astrologie « Beyond Us / Inside You » et enfin ma série « Self-Glorification », dédiée aux corps trans, et maintenant aux sexualités des personnes queer. J'ai aussi démarré une série sur les Sex-Workers, qui devrait normalement s'étoffer dans les prochains mois.

     

    Comment décrirais-tu ton style ?

    Je dirais déjà qu'il est très minimaliste, car avec ma structure neurologique j'ai besoin de ça (je suis autiste, chez moi ça se traduit comme ça, entre autres). Je dessine presque seulement en noir et blanc, c'est un parti pris personnel, dans la mesure où j'aime beaucoup le travail très coloré d'autres artistes. J'envisage de peut-être essayer la couleur par la suite, mais pour l'instant j'aime rester dans quelque chose de simple qui permet une libre interprétation à qui regarde (bon, excepté la part explicite, of course!). Basiquement, une grande partie de mon temps de dessin consiste à observer scrupuleusement les photos que l'on m'envoie, à en cerner les courbes, les reliefs et les ombres. Je passe aussi beaucoup de temps à me demander par quel trait commencer ! (rires) Ça peut être long ! Après j'utilise du matériel très simple : des critériums et des stylos noirs très fins.

     

     

     

     

     

     

    Trois artistes qui t'inspirent ? 

    Je dirais Tango Gao car j'adore la poésie et la simplicité de ses dessins, Daniel Arzola car c'est très graphique avec beaucoup d'empowerment ; en plus il est très investi dans la communauté LGBTQIA+ et il est autiste aussi ! Il y a aussi Rose Butch avec qui j'ai hâte de faire une collaboration (c'est prévu, et on y arrivera !). J’aime aussi beaucoup les univers d’Anna Wanda Gogusey et de Tarmasz (sorry, ça fait cinq, et encore je me retiens ! Mais tout le travail de ce beau monde est sur Instagram en tout cas !). Enfant j'étais passionné par l'art, et notamment la peinture, j’adorais Van Gogh, Matisse et Magritte, pour ne citer qu'eux. 

    Peux-tu me parler de tes séries « Self-Glorification » et « SexWorkers » ? Quel sont les messages que tu veux faire passer à travers tes oeuvres ?

    Dans les deux cas il s'agit de séries pleinement dédiées à la beauté du corps, notamment trans / inter, mais aussi à celle de tous les corps hors-normes, et de notre droit fondamental à en disposer nous-mêmes, à nous aimer tel.le.s que nous sommes. Le corps est objet de représentations. Nous devons apprendre ou réapprendre à l'aimer, à le glorifier, car c'est lui qui abrite notre sensibilité propre, la manière dont nous abordons ce monde et ce que nous lui envoyons comme message. Il est dynamique. Alors je crois que plutôt que d'être emprisonné.e dedans, nous devons tout faire pour nous rendre libre et nous défaire des injonctions sociétales, qui nous poussent très souvent à l'inverse, à la dépréciation, à la comparaison, au dégoût de soi, et à la dépression. Nous méritons mieux. Le Yi King dit « La vraie beauté résulte d’une parfaite correspondance entre ce que nous sommes et ce que nous montrons ». Le travail de toute une vie !

    Tu es très actif sur Instagram. Comment décrirais-tu l’impact qu’ont eu les réseaux sociaux sur ton travail ?

    Et bien j'avais déjà ma page Facebook depuis un moment mais je dirais que le vrai démarrage a surtout été à partir de mon arrivée sur Instagram. Étant une appli plus "visuelle" et artistique que d’autres et ayant un profil public, ça m'a permis de gagner en visibilité. Je m'amuse beaucoup à faire des stories aussi, ça rythme un peu mon quotidien, même si bien sûr avec les aléas existentiels il m'arrive de temps en temps de disparaître un peu. Mais c'est chouette du reste, et Shama m'aide bien, on est vraiment un bon duo de travail, c'est quelque chose qui fait pleinement partie de notre relation ! Et sinon je vais bientôt dessiner des personnes qui ne sont pas en Europe ! Donc globalement je trouve ça assez génial en terme de possibilités.

     

     

     

     

     

     

    Comment peut-on acheter tes dessins ? Peut-on te passer commande ?

    Oui ! J'ai un Etsy, mais je préfère le côté alternatif et un peu plus cosy qu'il y a quand des personnes me contactent en DM sur Insta, et c'est tout aussi simple avec Paypal ! Donc à voir, je fais le test, pour l'instant mon shop est ouvert dessus. En tout cas, aucun problème  pour me contacter via Facebook ou Instagram, je réponds !

     

     

     

     

     

     

    Quels sont tes projets ?

    Si tout se passe comme prévu, les mois de septembre et octobre vont être bien chargés ! En principe j'ai une expo de 2 mois à la Rainbow House à Brussels, dès septembre. J'ai aussi normalement la Pride Edition du Paris Night Market en Octobre (déplacé à cause de la canicule) ainsi qu'un projet avec Océan ! Et enfin, je dois me rendre à Toulouse pour exposer dans le cadre d'une Kino Porno. Je donnerai toutes les infos sur les réseaux ! Let's keep in touch !

     

     

     

     

    _______________

    Pour plus d'infos, de photos et de jeux concours, suivez Next-Bordeaux sur Facebook et Instagram !

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique