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    Hier soir, le collectif musical La Crème avait décidé de s'emparer des murs de l'université de la Victoire en les faisant trembler à coup de grosses basses. Une bonne petite soirée techno comme on les aime, en plein centre de Bordeaux : la musique s'entendait depuis les terrasses de la place.

     

     

     

    Ils ont remué la fac : La Crème X Just Her à l'Atrium

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ils ont remué la fac : La Crème X Just Her à l'Atrium

     

     

     

    Leurs DJs nous avaient déjà fait danser au Fridge, et ils avaient décidé de remettre ça dans un lieu plus insolite. L'atrium de l'université est en effet d'une rare beauté architecturale, avec ses colonnes, ses marbres et ses céramiques ; et il est toujours plaisant de voir un dancefloor se défouler dans un très bel endroit.

     

     

     

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    Ils ont remué la fac : La Crème X Just Her à l'Atrium

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De 17 heures à 22 heures, les artistes ont proposé des sets intéressants, de la house smoothy à une techno plus énervée. L'orga a su ravir ses convives avec des petits prix - 6€ la place en prévente, 12€ sur place et 3€50 le demi -, une ambiance conviviale et un lieu plaisant. On attend de voir avec impatience ce que le collectif nous réserve pour la suite !

     

     

     

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    Envie d'une bonne soirée techno dans un lieu sympa de Bordeaux, en plein centre-ville ? Le collectif La Crème vous propose un événement haut en couleurs le 10 mars, dans l'Atrium de l'Université de la Victoire, avec au programme trois DJ's, un endroit inédit et des bonnes vibes !

     

     

     

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    Tirage au sort le 1er mars ! Bonne chance à toutes et à tous ;)

     

     

     

     

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    Ogach est le chanteur du groupe à succès Jahneration qui se produira le 3 mars 2018 au Rocher de Palmer, à Cenon. Avec son acolyte Théo, ils ont fondé le groupe il y a maintenant dix ans ; ils partent désormais en tournée avec quatre musiciens et sept techniciens. Rencontre.

     

     

     

     

     

     

    Pourquoi ce nom, « Jahneration » ?

     

    C’est un jeu de mot qu’on a trouvé au début du groupe, il y a dix ans. Pendant notre période de découverte du reggae, on a été très touché par la philosophie rasta qui en émanait. A la base on vient du rock, et le switch d’un genre musical à l’autre s’est en partie fait grâce à cette philosophie. On voulait garder dans notre nom un clin d’œil rappelant d’où on venait, pour dire qu’on ne fait pas de la musique pour faire de la musique, on a un message derrière qu’on promeut dans nos chansons. Ce message c’est de tendre vers l’ouverture, la diversité, l’accomplissement.

     

     

    Comment décririez-vous votre style musical ? Car votre reggae a quelque chose d’innovant…

     

    Le premier mot qui me vient à l’esprit est « hybride ». Comme tu l’as dit, le reggae est notre ligne principale, mais on y ajoute parfois de la pop, parfois de l’electro… En général on se décrit comme « reggae hip-hop », notamment en termes de chant. Théo est plus dans le côté reggae, et moi dans l’aspect hip-hop, avec des parties rappées. On écoute tellement du tout, toutes les musiques de nos générations, et on injecte ce qui nous plaît. Et je pense que c’est ce que les gens aiment, parce qu’on a beaucoup de retours positifs ces trois dernières années sur notre éclectisme, et le fait qu’on ne fasse pas de la musique que pour un public exclusivement « reggae ». On a un public diversifié, parce que notre musique l’est aussi.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    D’où vous est venue l’envie de faire de la musique ?

     

    A l’adolescence, vers 13-14 ans. Théo et moi nous connaissons depuis le collège ; à l’époque je faisais de la guitare et Théo du piano. On a fondé un premier groupe à cette époque, puis on a switché de style musical au lycée. La musique fait partie de nous depuis longtemps, on a toujours eu des âmes de musiciens, petit je chantais sans arrêt, et Théo aussi ! Je me souviens de vacances où on faisait tout le temps de la musique ensemble. On est complémentaire sur ce point.

     

     

    Vous vous êtes notamment fait connaître par le tube « Me nah fed up », pouvez-vous me parler de ce morceau ? Qu’évoquent les paroles ?

     

    C’est un de nos premiers morceaux sortis. C’était une collab avec notre cher confrère Naaman, qui est maintenant une tête d’affiche du reggae en France et en Europe. En fait on était tout jeunot, on voulait faire de la musique, et du coup on a contacté Naaman qui a accepté de nous rencontrer pendant une journée. Je me souviens, on avait fait une vidéo filmée à l'arrache… Bref, on a fait ce son ; l’intru a été composée par Théo et moi, a tous enregistré nos voix dessus et c’était parti. Le morceau a rencontré un joli succès. Cette chanson raconte ça : notre envie de faire de la musique, notre énergie, nos ambitions, notre volonté de profiter de la vie. C’est un morceau très sincère.

     

     

     

     

     

     

    Quelles sont vos inspirations ?

     

    Il y en a énormément… Un duo qui a été pour nous une révélation, qui nous a vraiment marqué, c’est l’album de Damian Marley et Nas, « Distant Relatives », sorti en 2010. On a été charmé par la couleur de l’album, à la fois reggae, world et hip-hop. On les a vu en concert, on est des grands fans, ça a été une influence déterminante pour nous. Et puis il y a aussi Alborosie, beaucoup de reggae jamaïcain, Kabaka Pyramid… On a aussi écouté beaucoup de punk-rock californien, comme Blink182, qui nous a énormément inspiré dans les mélodies, les harmonies de voix.

     

     

    Vous avez fait une tournée en Inde, pourquoi ce pays ?

     

    C’était un heureux concours de circonstance ! On travaille avec Ovastand depuis trois ans, et en fait un des bookers a eu le contact d’une dame chargée d’organiser des tournées en Inde, elle devait implanter des groupes occidentaux dans le pays car cette scène y est peu développée. On nous a donc proposé de partir en Inde avec plein d’autres groupes, et on a dit oui ! C’était la première fois qu’on partait à l’étranger tous ensemble, ce sont des moments qui soudent le groupe. On a toujours été très bien accueilli.

     

     

     

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    Quelles sont les différences entre les publics indiens et français (s’il y en a) ?

     

    Il y a pas mal de choses qui changent. Les publics indiens devant lesquels on a joué découvraient pour la plupart la musique reggae live pour la première fois. Il y a un seul festival reggae en Inde, le Goa Sunsplash, et deux groupes de reggae connus. Donc les gens ne savaient pas trop comment réagir à cette musique, comment danser dessus… Mais dans le fond les publics français et indiens ne sont pas si différents : ils sont là pour passer un bon moments, et dans les deux pays on a eu beaucoup de retours positifs. Ça a été très fort pour nous, cette tournée.

     

     

    Comment appréhendez-vous votre date à Bordeaux, le 3 mars 2018 ?

     

    Ça fait plusieurs fois qu’on vient, et on est jamais déçu ! On a déjà joué au Reggae Sun Ska, c’était assez exceptionnel, on faisait la clôture le dimanche à 20 heures. C’était très fort symboliquement, on adore cet événement, on y était déjà venu plusieurs fois en tant que festivaliers. On a aussi joué à la Rock School Barbey et au Krakatoa, c’était de belles soirées à chaque fois, avec des plateaux cohérents. Bordeaux est une super ville, à chaque fois on a été très bien accueilli et on a hâte de revenir.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pour conclure, quels sont vos projets futurs ?

     

    On repart en tournée à partir du 1er mars, et Bordeaux est l’une de nos premières dates. Ça va être une belle tournée d’été, avec des dates en festivals comme en clubs. Ça va nous prendre pas mal de temps. L’autre gros projet de l’année, ce sont les Mic Session. C’est un concept qu’on a lancé il y a plusieurs mois, on fait des vidéos et un artiste surprise arrive au milieu. On en fait assez régulièrement. Et puis quand on aura fini la tournée… On fera une pause et on enchaînera sur un second album !

     

     

     

     

     

     

     

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