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    Vendredi 4 mai a lieu la soirée La Crème X Juliet Fox. Au programme, des petits prix, de la techno et une bonne ambiance !   

     

     

     

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    Next - on Bordeaux vous offre la possibilité de gagner 1 LITRE DE BIERE PAR PERSONNE !  

     

    - Aime la page Next - on Bordeaux
    - Identifie UN.E AMI.E : vous pourrez gagner un litre de bière chacun.e !  

     

    Au total, deux couples de gagnant.e.s, soit 4 litres de bière à gagner ! Le tirage au sort aura lieu le 24 avril. Bonne chance à tous et à toutes !

     

     

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    Jeudi 5 avril, Fakear se produisait au Krakatoa, à Mérignac. La salle était comble pour cet artiste international, qui a déjà joué à Bordeaux à deux reprises - on se souvient notamment de sa prestation cet été au Climax Festival. Pour ceux qui ne connaissent pas, Fakear est un DJ de musique électronique qui s'est notamment fait connaître pour ce tube :

     

     

     

     

     

     

    Fakear : la nouvelle vague de l'électronique ?

     

     

     

    Fakear : la nouvelle vague de l'électronique ?

     

     

     

    Accompagné par un batteur, un pianiste, un bassiste et une harpiste, Fakear a prouvé que la musique électronique savait s'accorder avec l'acoustique. L'artiste, qui travaille essentiellement sur Ableton Live, sait aussi jouer des percussions sur sa grosse caisse. Cela donne un tableau de scène assez saisissant, où des basses modernes se mêlent à des mélodies d'inspiration orientales ou asiatiques rappelant Gramatik. Musique et lumières se répondent, et l'énergie transmise entre les artistes et le public est presque palpable.

     

     

     

    Fakear : la nouvelle vague de l'électronique ?

     

     

     

    Fakear : la nouvelle vague de l'électronique ?

     

     

     

    Fakear : la nouvelle vague de l'électronique ?

     

     

     

    Fakear semble dessiner, avec ses confrères Petit Biscuit ou Kungs, une nouvelle tendance dans la musique électronique. Plus posée, joyeuse et moins sauvage que les sons dansants des années 2000 et 2010, cette nouvelle vague sent bon l'été, la plage et le soleil. C'est frais, c'est léger, parfois un peu mélancolique. Le but n'est plus d'échauffer des esprits déjà agités, mais bien de calmer un public venu chercher l'apaisement. 

     

     

     

     

     

     

    L'artiste n'a pas joué La Lune Rousse, mais il a fait deux rappels sous les applaudissements d'un public ravi. On souhaite une bonne continuation à l'artiste, dont vous devriez pouvoir lire l'interview sur Next - Bordeaux d'ici peu ;)

     

     

     

    Fakear : la nouvelle vague de l'électronique ?

     

     

      

    Fakear : la nouvelle vague de l'électronique ? 

     

     

     

     

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    Il y a quelques semaines, nous publiions un article sur une soirée techno dans l'Université de La Victoire. Entre temps, la faculté de sciences sociales et d'odontologie a été bloquée suite aux manifestations portant sur la loi Vidal. Si l'occupation de la fac semblait au départ provisoire, les bloqueurs et bloqueuses y ont désormais élu domicile. Une page Facebook « Université Libre de Bordeaux » a été créée, en même temps qu'un sondage provenant de l'administration sur le blocus. Etudiants comme professeurs ne parviennent pas à se mettre d'accord, et l'ambiance est parfois un peu tendue au bar Chez Auguste, où certains se retrouvent pour travailler.

     

    Dans cet article, nous ne souhaitons pas prendre position concernant la légitimité de la "loi sélection" ou l'occupation de l'université. Nous avons décidé d'aller visiter la faculté pendant le blocus, afin de voir par nous-même ce qu'il en était, et de vous en donner un aperçu.

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

    L'entrée se fait par la porte principale qui donne sur la Place de la Victoire. Un petit panneau « Université occupée - entrez ! » indique le chemin, à côté d'autres issues bloquées par des piles de chaises et de tables. Derrière la porte, dans le hall de l'université, pas de service d'ordre, mais des jeunes installés dans des canapés, fumant et discutant. A côté d'eux, un chien se repose. Un concert de musique classique a lieu, quelques chaises sont disposées devant les deux virtuoses. Partout, des affiches qui se moquent et critiquent la politique d'Emmanuel Macron et la loi sur l'accès à l'université, et qui interpellent sur des phénomènes sociaux actuels. 

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

    Les bloqueurs ont rassemblé de nombreux extincteurs au même endroit, sans qu'on ne saisisse bien le sens de cette manœuvre. Dans la cour, un groupe de jeunes écoute du hardcore sur des enceintes de mauvaise qualité, tandis que des filles taguent sur des draps des slogans contestataires. Les panneaux d'affichage ont été recouverts de tracts manuscrits. 

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

    Dans l'amphithéâtre Gintrac se tiennent des discussions sur le thème « Pourquoi c'est nul d'être une nana ? ». Des jeunes femmes échangent dans une salle redécorée à la mode « blocus ». Le tableau est recouvert de petites écritures détaillant le programme des prochains jours.

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

    Tandis que nous prenons des photos de l'agencement du lieu, une participante nous demande calmement, mais fermement, de ranger notre appareil. L'exigence sera réitérée alors que nous nous apprêtons à sortir et prenons quelques dernières images. Quand nous demandons pourquoi il nous est interdit de photographier le lieu, on nous répond que les images risquent d'être « manipulées » et « sorties de leur contexte ». C'est donc en insistant sur notre démarche purement descriptive et neutre que nous concluons cet article. On attend vos avis dans les commentaires !

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

    Visite d'une fac occupée

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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